Chargé.e de communication, un métier que je souhaite exercer depuis longtemps déjà. J’ai pu découvrir cette profession dès la 3ᵉ, lors d’un stage, auprès de la responsable de communication du Musée Dauphinois à Grenoble.

Pour ce stage de master 1, il m’a semblé naturel de réaliser mes demandes auprès de chargé.es de communication, et plus particulièrement dans le domaine muséal et artistique. En début d’année, un flyer me passe entre les mains. Il présente le Festival ON, un festival d’art numérique à Arles. Je fais donc une demande spontanée et suis acceptée au titre de stagiaire chargée de la communication. 

Anciennement « Octobre Numérique », ce festival arlésien existe depuis 10 ans maintenant et est depuis 3 ans sous la direction artistique de Julie Miguirditchian, ma tutrice. Pour résumer brièvement, ON est un festival ayant lieu durant tout le mois d’octobre à Arles, mais il s’étend également sur d’autres villes, comme Tarascon, Saint Martin de Crau ou encore Avignon, et cette année Lyon. L’objectif majeur de la manifestation est de promouvoir les acteurs et les nouvelles pratiques numériques dans les domaines de la création, de l’innovation et de l’économie numérique. 

Pour être tout à fait honnête, ce stage me faisait un peu peur au premier regard, car les missions demandées étaient importantes, tout comme la charge de responsabilités qu’on allait me donner. J’ai finalement fait le bon choix, car je découvre aujourd’hui en profondeur ce qu’est véritablement le métier de chargé.e de communication, grâce à des missions variées.  D’un côté, la gestion des réseaux sociaux et du site web en étant directement en contact avec les graphistes. De l’autre, je suis également responsable des partenariats médias, qui nous permettent d’augmenter la visibilité du festival. L’une de mes principales missions, jusqu’alors, a été de réaliser un document de communication comportant une programmation pressentie. Cette mission m’a permis de faire de la mise en page, un travail que j’aime beaucoup.

Ce stage est très formateur sur plusieurs points. Étant en contact direct avec les personnes extérieures au festival, tel que des artistes, employé de la mairie ou de la communauté d’agglomération, partenaires, etc., je comprends mieux les enjeux et aboutissements du projet. ON réalise beaucoup de partenariats, qu’ils soient médiatiques, techniques ou artistiques, ce qui complexifie la communication : comment doivent être mentionnés les partenaires, la taille des logos, etc. ? Il est alors intéressant d’observer comment tout cela s’organise.

Il faut également noter que je réalise ce stage en télétravail. Dans un premier temps en raison de la crise sanitaire actuelle, mais également car ma tutrice se trouvant à Marseille et les bureaux étant à Arles, le télétravail reste la meilleure option. Travailler chez soi n’est bien sûr pas évident, notamment pour la concentration, mais cela me permet de gagner beaucoup en autonomie. 

Enfin, bien qu’il soit établi que mon stage se termine mi-août, au vu du bon déroulement de ce dernier et pour me permettre d’aller jusqu’au bout du festival, ma tutrice m’a proposé de continuer en septembre et octobre sous forme de missions. Le rythme cours / travail sera effréné, mais je ne doute pas qu’il sera riche en expérience !


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