Pour cette troisième journée des rencontres professionnelles, nous avons rencontré dans la matinée du jeudi 6 janvier, deux personnes travaillant pour Vaucluse Provence Attractivité : Hélène Abry, manager du pôle web et e-marketing et Stéphanie Maisonnave, community manager.

 

Elles nous ont d’abord présenté l’agence Vaucluse Provence Attractivité : elle a pour but de communiquer auprès des personnes qui ne sont pas dans le Vaucluse pour les attirer, que ce soit des touristes ou des investisseur⋅euses. L’agence est structurée en quatre pôles : communication, filière-investissement, ingénierie et administratif. 

 

Par la suite, elles nous ont décrit plus précisément leurs missions : promouvoir leurs activités, notamment à l’international grâce à des sites internet et des comptes sur les réseaux sociaux en plusieurs langues, aider à la visite avec le Vaucluse Provence Pass et surveiller l’e-réputation des destinations. Elles nous ont également expliqué que leur travail se fait conjointement avec les partenaires du territoire telles que les communautés de communes et les offices de tourisme, mais également avec les acteur⋅ices institutionnel⋅les comme le département du Vaucluse et la chambre des Métiers et de l’Artisanat.

 

Cette intervention nous a permis d’aborder le sujet de l’attractivité touristique à travers le web et les réseaux sociaux. Les thématiques actuelles du slow tourisme et du démarketing ont également été abordées au cours de discussions très intéressantes.

L’après-midi était consacré à l’intervention de Sandrine Modolo, qui nous a parlé de son travail en tant que médiatrice, guide conférencière et coordinatrice du réseau français de la Route des Phéniciens

 

La Route des Phéniciens est un itinéraire culturel européen certifié par le Conseil de l’Europe en 2003. Cet itinéraire regroupe onze pays et est un instrument pour le dialogue interculturel, la valorisation et la pédagogie du patrimoine culturel en Méditerranée. Le siège de cet itinéraire est en Italie et chaque pays développe ensuite son réseau de partenaires (régions, universités, musées, acteur⋅rices touristiques…). C’est notamment en développant des Smart Ways (parcours d’excellence) et des centres d’interprétation du patrimoine que la Route des Phéniciens se développe. 

 

Sandrine Modolo nous a également parlé de son parcours. Elle est archéologue de formation et c’est pour cela qu’elle a travaillé pendant des années en Italie. Ensuite, elle a travaillé pour la Route des Phéniciens, toujours en Italie, avant de revenir en France. Parallèlement à son travail de coordinatrice du réseau français de la Route des Phéniciens, elle est aussi médiatrice et guide conférencière, notamment pour le MuCEM.

 

Cette rencontre nous a permis de découvrir le travail très diversifié derrière un itinéraire culturel européen et nous a montré la possibilité de mener plusieurs activités professionnelles en parallèle. 


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